12/23/2012

Y a des brèches

Je viens d'apprendre que certains murs ont des brèches... °_O

Je pensais pas être tombé sur une brèche, mais maintenant, me voilà de l'autre côté !

Comme quoi, j'ai bien fait de pomper !

12/22/2012

Pensée shadok

Il vaut mieux pomper que de pas pomper, parce que quand on pompe, on finit toujours par avoir une idée !

Maintenant que j'ai pompé pour rien, je peux enfin me mettre à travailler ! Yeah !

12/01/2012

Ecologie politique : la tendance râleur inerte

Aujourd'hui, j'ai causé avec ma mère dans la voiture. Je ne livre pas ici des répliques exactes, juste des ordres d'idée :

Moi : Mais en fait, t'es anti-écolo !
Ma mère : Oui, je suis farouchement anti-écolos !

Un peu plus tard :

Ma mère : Les éoliennes, c'est tellement anti-esthétique, c'est froid, moi ça me fait peur !
Moi : ... plus peur qu'un accident nucléaire majeur avec une région entière radioactive et des milliers de cancer de la thyroïde ?
Ma mère : Oui, on a bien le droit de penser ce qu'on veut.

Ben putain, y a du boulot...

La prochaine fois, nous aurons le droit de penser que les Grecs sont des fainéasses, et que si y a la tuberculose qui revient chez eux, c'est pas grave, ils avaient qu'à pas être aussi proches de l'Empire ottoman.

11/30/2012

Islande 2012 : La langue

Je m'étais plongé dans la lecture de L'islandais de poche, un petit livre pour apprendre l'islandais, aux éditions Assimil. Je n'ai jamais su parler islandais, mais je connaissais quelques tournures de base ("Je voudrais ceci.", "Merci.", "Comment vous appelez-vous ?"), et je m'en servais comme je pouvais...

L'Islandais de poche, aux éditions Assimil.

Les conversations se faisaient le plus souvent en anglais. Les Islandais parlent pratiquement tous très bien anglais. Au point que les films sont en anglais sous-titré islandais ! Une vendeuse de DVD m'a dit que les islandais n'aiment pas les doublures de voix parce que ça ne colle pas au mouvement des lèvres. En fait c'est pas que les Islandais n'ont pas les moyens de doubler les films étrangers, c'est juste qu'ils n'aiment pas ça.

Une pub pour le dernier film de Batman. Noter la place importante qu'y occupe l'anglais.

Durant ce voyage, pour la première fois de ma vie, je me suis mis à penser en plein de langues différentes : majoritairement français et anglais, mais aussi allemand et islandais. C'était trop bizarre !

L'islandais est une langue assez particulière. Il y a un nombre incroyable de déclinaisons, on décline les articles, les adjectifs et les noms, et surtout, la langue n'a presque pas changé depuis le XIIème siècle.
L'accent ressemble beaucoup à celui du français. Je dirais même que l'accent est faible, que cette façon de prononcer est, comment dire... naturelle, pas exagérée, pas artificielle.

Une des phrases que j'ai entendues le plus souvent est "Ha.". Cela veut dire "Comment ?" ou encore "Que veux-tu dire ?".

Islande 2012 : Les bains

Alors déjà, on a beau dire que l'eau islandaise a un odeur/gout d'oeuf pourri, je n'ai pas toujours eu cette impression, loin de là.
Lors de ma randonnée, j'ai pris un peu de temps pour me baigner tout nu dans une rivière... Un temps ensoleillé, un air frais, je n'ai hélas pas pu aller bien loin car l'eau était froiiiide ! J'ai tout juste réussi à avoir l'eau jusqu'aux genoux.
Les automobilistes passaient, ils n'en n'avaient que faire...
J'ai profité de cette situation pour bronzer un peu, parce que niveau bronzage, j'avais pas assuré cet été ! Évidemment, cette demi-heure de bronzage n'aura pas suffi à rattraper le temps perdu -_- .

De retour à Reykjavik, je suis allé me baigner dans la piscine près du camping. Laugadalslaug, que ça s'appelait. Alors il faut savoir que dans les piscines islandaises, les douches sont collectives, et il faut se doucher tout nu ! Tant qu'on y est, on pourrait se baigner à poil, mais l'aspect quelque peu libertin des Islandais ne va pas jusque-là. Ah oui, les vestiaires ne sont pas mixtes.
L'eau y était bien plus supportable que dans la rivière rustique, et j'ai pu m'amuser à glisser dans un long toboggan ! J'ai beau être un adulte, je continuerai à faire des jeux toute ma vie ! D'abord.

Vue sur le Blue Lagoon.

Enfin, suite à un conseil reçu dans un bar, je suis allé au lagon bleu, ce que toutes les brochures touristiques appellent "the Blue Lagoon". L'eau y est magnifique, la pierre si blanche, l'eau... chaude, parfois beaucoup trop chaude, même ! Je me rappelle m'être approché d'une certaine zone en surface, et... c'était trop chaud, il fallait que je fasse demi-tour !

Islande 2012 : Les musées

À Reykjavik, j'ai pu visiter un certain nombre de musées.

Il y avait un musée d'art qui n'avait en soi rien de bien exceptionnel en matière de peinture, sculpture... Je croyais l'entrée libre, mais en sortant, on m'a dit que c'était payant. Heureusement, on ne m'a pas fait payer :-) .

À la maison de la culture, il y avait de vieux parchemins... Cependant, le contenu ne m'a pas marqué. Je ne saurais trop dire pourquoi.

Enfin, j'ai visité le musée national. Ce fut le seul musée qui soit vraiment de qualité : deux vastes étages, des écriteaux à foison, des vestiges de l'Islande pré-chrétienne, pré-réforme protestante et post-réforme, des marteaux, des aiguilles, des entrelacs... En haut, des objets plus récents. Un bon condensé de l'histoire de la population humaine islandaise, en somme.

Il y avait bien un musée du phallus, mais le tabou du sexe a été plus fort que moi et j'ai pas été foutu d'y mettre les pieds. Pas grave, ce sera peut-être pour une prochaine fois.

Au musée d'art :

Hmmm, c'est un bon début...

Ben, pourquoi y a pas de coffre qui est apparu ?

Je sais pas ce que c'est, mais ça fait peur !

Super, un mur libéré !

Au musée national :

Et ben, je savais même pas que ça existait ! Cliquez sur l'image, vous comprendrez mieux...

Islande 2012 : La faune et la flore

En Islande, il y a très peu d'arbres, et les arbres sont souvent petits. Là où il y a le plus d'arbres, c'est... dans la capitale !

Dans les plaines de la campagne du sud-ouest, on trouve beaucoup d'herbe rase. Ce sont des prés où paissent des moutons et des chevaux. Les oiseaux sont moins farouches qu'en France, on peut les approcher de plus près.

Un soir, j'ai donné de la nourriture à des oiseaux à Reykjavik : ils venaient tous vers moi !

De façon générale, la faune et la flore est moins riche qu'en France, probablement à cause du climat plus rude.

Un bois, dans la campagne islandaise.

Un autre.

Encore un autre, vu de près. Noter la petitesse des individus.

Des champignons agrégés.

Ça ne se voit peut-être pas, mais on n'en trouve pas des comme ça en France ! De façon générale, j'ai vu pas mal de plantes qui ressemblent à ce qu'on a en France, mais en différent.

Des chevaux montés.

Les mêmes avec le zoom.

Oh, la jolie mare !

Des mousses au crépuscule.

Des êtres hum... euh pardon, je voulais dire, des moutons !

Je ne sais pas si c'est un nid de guêpes ou d'abeilles,  en tout cas je l'ai trouvé dans la capitale !

Des oies sauvages. On en trouve pas mal, à Reykjavik.

Non non, il n'y a aucun trucage...

Des oiseaux qui picorent les miettes de sablés que je leur ai lancées. Ah, ça les attire... Souvent, même, ils se battent pour les avoir. L'oiseau blanc au premier plan, si ma mémoire est bonne, était assez agressif. Les pigeons étaient tout mous, et il y avait un individu bizarre, ressemblant à un canard, qui était rejeté et que j'ai du aider à trouver son morceau.

Islande 2012 : Les centrales électriques

Volet décevant du voyage. Je voulais visiter la deuxième centrale géothermique du monde, Hellisheidi. La visite coutait pas bien cher, mais on ne nous montrait même pas les machines ! À quoi ça sert d'aller sur place si c'est pour voir un Powerpoint et trois quatre schémas/vidéos qu'on aurait tout-à-fait pu trouver sur Internet !
Quittant le musée ridicule, j'achète un petit bouquin sur l'utilisation de la géothermie en Islande. Ce sera mon seul souvenir de voyage.
La centrale de Hellisheidi produit 303 MW d'électricité. Elle rejette principalement de la vapeur d'eau, ainsi que du CO2 et du H2S, cette dernière étant la molécule attachée à l'odeur d'oeuf pourri. D'ailleurs, l'eau de douche du camping de Reykjavik sentait le H2S, on n'en sortait pas puant pour autant.
Pour revenir à la centrale, il faut savoir que 2 personnes suffisent à la faire tourner. Il n'y a pas de risque d'explosion.

J'ai décidé de mettre les pieds plus près des machines, dans une zone interdite. Je n'y ai pas vu grand-chose, et ai décidé de ne pas y rester trop longtemps : vaut mieux pas se faire choper !

 De plus près, tout ce que je voyais, c'étaient des filets d'eau qui tombaient...

Panorama de la centrale géothermique Hellisheidi.

Je suis aussi passé à côté de deux barrages, probablement tous deux hydroélectriques. Celui que j'ai le plus approché s'appelle Irafossstöd. Il y en avait un autre plus en amont, du même genre, nommé Ljosafossstöd. Je n'ai là-bas eu droit à aucune explication.

Irafossstöd et ses bidouilles électroniques auxquelles je comprends rien.

Un terrain de golf près d'Irafossstöd.

Au loin, le barrage Ljosafossstöd.

Islande 2012 : La météo

On dit souvent que le temps change très vite en Islande. Ce n'est pas ce que j'ai constaté. Le temps était la plupart du temps nuageux, sans pluie ou presque. Pas de neige ni de grêle. Je me souviens d'une bribe de conversation où un(e) francophone disait que c'était le premier été en Islande.

Un ciel typique lors de mon voyage.

La journée, il faisait 12°C 15°C, la nuit, plutôt 5°C 8°C.

Et parfois, il m'est même arrivé d'être en T-shirt sans avoir froid !

Islande 2012 : La capitale

La capitale de l'Islande s'appelle Reykjavik. L'île comporte 300 000 habitants, la capitale en compte 200 000. Reykjavik signifie baie des fumées. D'ailleurs, sur les paquets de clope, il est écrit Reykja dreppa.

Les bâtiments sont très espacés, presque partout, il y a de l'herbe, et à propos de végétal, il y a fort à parier que Reykjavik soit la zone la plus boisée d'Islande.

Il y a une rue principale, la Laugavegur. Si vous ne retenez pas ce nom, je ne vous en voudrai pas...

Les automobilistes sont très déférents envers les piétons.

L'église Hallgrimmskirkja.


La même vue de face.

Ganondorf n'a qu'à bien se tenir !

Bénitier vu de haut.

Va me le dire de profil, si t'es un bivalve !

Euh... j'ai vraiment trouvé ça en ville ?

Les champignons hallucinogènes, ça laisse des traces...

En Islande, toutes les rues sont indiquées !

Ça me fait penser au système solaire... Ou encore aux schémas d'un astronome.

Un héros mythique terrassant un dragon.

Euh... pourquoi j'ai pris ça en photo, moi ?

Une machine "infernale". Je n'arrêtais pas de passer à côté, il y avait des flammes, et à chaque fois que je sortais mon appareil photo, les flammes disparaissaient ! Elles revenaient en mon absence.

Là par-contre, les flammes sont restées >_<!!

Un immeuble un peu... pas carré.

Plus américanisé, tu meurs !

Reykjavik est une ville assez bariolée.

Une maison de la capitale. Je la trouve assez mignonne, pas vous ?

Les Islandais ont beau avoir des campagnes propres, certains jettent leurs déchets par terre, sur le béton.

Ce n'est pas un trucage, vous savez.

La mer, innombrables possibilités...

Islande 2012 : Les gens

Ah, les gens. Je crois que ç'aura été le plus grand "échec" de mon voyage. En effet, je n'ai réussi à me faire inviter par personne, ni à prendre aucun contact d'Islandais que ce soit !

Je commence par une thèse personnelle qui mérite d'être partagée : Les Islandais sont un peuple supérieur.
Oulah, là j'ai dit gros, il va me falloir de bons arguments...

Argument n°1 : ils n'ont pas d'armée.
Argument n°2 : il n'y a quasiment pas de criminalité.
Argument n°3 : ils ont été foutus d'être le premier peuple au monde à élire une femme comme présidente.
Argument n°4 : ils ont réussi une révolution en 2010.
Argument n°5 : ils se sont prononcés contre le remboursement de la dette d'État.
Argument n°6 : ils ont eu le culot d'élire un humoriste comme maire de la capitale.
Argument n°7 : l'homosexualité est sérieusement tolérée, ils ont déjà un droit au mariage entre homosexuels.
Argument n°8 : une partie significative des Islandais s'adonne à des travaux créatifs en plus de leur métier : menuiserie, littérature, musique...
Argument n°9 : c'est des blonds. Non, je déconne.
Argument n°10 : ils ont survécu des siècles durant à un territoire vachement hostile ; ces abrutis de Vikings du Groenland ne peuvent pas en dire autant, ceux-là, ils ont crevé jusqu'au dernier (c'est vrai, ils ont crevé jusqu'au dernier !), alors vraiment, chapeaux-bas.

Le premier samedi de mon voyage, à Reykjavik, c'était la nuit de la culture : il faisait beau, partout des gens qui déambulaient dans les rues, y avait même un Français qui chantait Mort aux vaches ! On lui donnait des pièces dans son étui de guitare, et il a dit être étonné de la générosité des gens là-bas.

Malheureusement, J'AVAIS MAL AUX PIEDS, du coup je ne suis pas resté et je suis revenu à pied au camping.
Alors au camping, y avait beaucoup de Français et d'Allemands. En Islande, j'ai croisé plein de Français.
Une scène de musique de rue, plusieurs jours après la nuit de la culture. Les gens, pas pressés, s'arrêtent devant les musicos, prennent leur temps, écoutent.

En Islande, les automobilistes sont très déférents envers les piétons.

La première Asiatique avec des gros seins que je vois de ma vie ! Et en plus, elle était d'accord pour que je la prenne en photo !

Parlons un peu physionomie.
Il y aurait comme une rumeur selon laquelle les Islandaises sont grosses. Que je la taise tout de suite : en proportion, il y a plus d'Islandaises grosses qu'en France, mais pas tant que ça ! Il y a peut-être 60 % d'Islandaises vraiment minces et 40 % d'Islandaises grassouillettes voire carrément grosses.
Et puis quand même : en général, quand les Islandaises grossissent, elles grossissent bien. Plutôt en épaisseur, donc ça leur fait des gros seins !
De façon plus générale, il y a très peu de variabilité génétique chez les Islandais. On trouve principalement deux types : les blonds, d'un blond clair voire très clair, aux yeux bleus et à la peau très blanche, et les bruns noirs, aux yeux... je sais plus très bien, peut-être marron noirs, et avec la peau très blanche. Au niveau de la taille, c'est peut-être un peu plus grand que les Français... Je peux pas trop dire. Le nez, pas très grand, plutôt en trompette.
D'ailleurs, une fois j'ai vu un jeune homme, on aurait c'était le stéréotype d'un dieu viking : la peau blanche, les cheveux blonds très clairs, très longs, très raides, la barbe... blonde ! Et les yeux bleus ! Putain, j'aurais trop aimé avoir un physique pareil... -_-

Sûrement le pire des Islandais : la superstition. Ci-contre, une publicité pour une balade où on est censé rencontrer des fantômes... Si c'est pour qu'on me dise que je ne sais quel grincement de sol en bois ou frottement d'un fluide sur un solide, c'est bien la preuve que les fantômes existent, ça ne valait pas la peine d'y aller...

En rase campagne, un poteau entouré d'un pull : conséquence d'une superstition ?

À peu près au même endroit, des ballons crevés autour d'un poteau. Pour quelle raison ? Je l'ignore...

Ce qu'il y a de bien en Islande, c'est que l'entrée dans les boites de nuit est gratuite ! En plus, j'ai pas vu de videur pour faire chier. C'est pratique de vivre dans un pays qui ne connait quasiment pas la criminalité !
Dans la première boite de nuit, kjallarinn, je n'ai jamais eu de touche. Y avait juste une fille complètement pétée qui arrêtait pas de me faire chier et de crier des trucs en islandais auxquels je ne comprenais que dalle.

(On peut dire ça, auxquels je ne comprenais que dalle ? Oh, peu importe.)

La deuxième soirée, dans la boite FAKTORY, a été plus intéressante. Je m'étais assis à une table à discuter avec trois Islandaises. L'une d'entre elle, Anita, semblait s'intéresser beaucoup à moi, et devait être une personne assez distinguée : joueuse de piano, passionnée de musique classique (Tchaikovsky...), elle disait jouer aux échecs à un niveau professionnel.
À ce niveau-là, j'étais déjà bien émêché.
Au bout d'un moment, je me demande si elle n'était pas en train de manipuler, de faire semblant de s'intéresser à moi. Je lui avais montré des dessins de créatures imaginaires pour mes romans, elle me demande laquelle est ma préférée, je répond (en gros, hein) "Je sais pas peut-être les orcauges.", du tac au tac, elle me répond "Moi aussi !". Comme si elle tenait plus à me faire plaisir qu'à me dire la vérité... C'est typique des manipulateurs.
Malheureusement, Anita a dû partir pour aider sa soeur qui s'était perdue, et je ne l'ai plus jamais vue depuis.
Un peu plus tard, je tombe sur une femme super grande. Elle arrivait à ma taille, avec ses talons ; elle m'a dit que sans ses talons, elle faisait 1,75 m. Autant je trouve les femmes petites mignonnes, autant les femmes grandes comme ça me font toujours forte impression. Je n'ai pas de préférence particulière sur ce point :-) .
Le contact s'est fait sans problèmes. Elle m'a dit s'appeler Solveig, ce qui signifie "bois désolés.". Elle l'a dit en français, et elle a dû se répéter pas mal de fois pour que je pige que "bois déssolaies" signifiait "bois désolés".
Je lui fais part de mon intérêt pour l'écologie, du fait que j'ai écrit un roman là-dessus. Elle me dit être aussi sensible à la problématique : allons-nous, êtres humains, voir notre espèce s'éteindre, et plein d'autres dans la foulée ? Partageant tous deux cette peur si profonde, je la prends dans mes bras, essaye de la rassurer en lui disant que nous survivrons, que même si la population humaine s'effondre, il y en aura toujours qui resteront pour la reconstruire, en mieux.
J'avais beau effleurer ses bras et ses seins, elle n'avait aucun mouvement de recul.
Tout semblait si bien parti lorsqu'une autre femme arrive vers nous deux et me dit "Elle est à moi !".
Je n'ai pas insisté, je n'ai pas voulu causer d'emmerdes.
La suite de la nuit est moins intéressante : trop de monde dans la boite, deux pseudo-musiciennes qui font du playback flagrant, un mec qui me dit (visiblement c'est faux) que c'est en paraissant sûr de soi qu'un mec trouve une nana.
Je n'ai au final pas réussi à trouver de compagne, mais j'aurai appris une chose : je ne peux pas draguer correctement tant que je ne peux pas parler avec la personne.
Dans toute cette histoire, celle pour laquelle mon coeur penchait le plus était Solveig : pas flatteuse, étudiante en sciences nat' qui partage cette inquiétude de la crise... Dommage que les choses n'aient pu aller plus loin :-( .