11/30/2013

Domaines de la psychonomie

Au fil de mes réflexions, plusieurs domaines de la science de l'esprit humain se sont dégagés.

La sexualité : c'est le plus tripant de tous les domaines, le plus excitant, en un mot, le plus bon. Il y est question de séduction, de désir, de frustration, de plaisir et de joie, et à la fin on envoie les gens dans les étoiles !

L'éducation : un domaine très important sur le long terme. Elle a pour côté obscur la manipulation. Dans ma conception, la psychonomie clinique fait partie de l'éducation, à la pharmacie près : Il s'agit de former l'esprit d'un fou en quelque chose de raisonnable. Il y a aussi un aspect politique important, puisque l'on peut rendre l'Homme meilleur.

Les traumatismes : il s'agit d'un domaine humanitaire. Il faut s'attacher à la souffrance de la personne, se mettre à sa place. Guérir d'un traumatisme se fait dans la douceur, la prévention est une autre histoire.

Les drogues : un domaine qui touche à la chimie, à la festivité, et aussi au pathos. On cherche à connaitre les effets des drogues, savoir avec quelle facilité elles rendent dépendant. Dans les cas graves, on vient en aide aux toxicomanes, on veut les faire sortir de ça.

Le sommeil : un volet des plus tripants dans la mesure où ils comprend les rêves, qu'ils soient positifs ou négatifs. Il est en lien avec les activités : Le sommeil est un état de faible activité physique, il ne faut pas en abuser sinon c'est de l'avachissement.

Les activités : un domaine en rapport avec le travail et le loisir. Rien que le fait de savoir ce que fait la personne dans sa journée, c'est déjà pas mal. Il s'agit de savoir combien d'activités elle a faites, pendant combien de temps, avec quelle intensité, avec quelle facilité de passer d'une activité à l'autre... S'impose très vite le concept de gestion du temps.

Les attitudes : un domaine d'une utilité extrême en sciences de la société, dans la mesure où les gens d'un même groupe, par mimétisme, on tendance à avoir la même façon de parler, les mêmes gestes. Il y est question du ridicule, de la classe, de la norme aussi. Un concept clé : les mèmes.

L'identité : pour ma part, le but est de savoir qui est vraiment la personne. Je raisonne dans l'hypothèse que les apparences sont parfois trompeuses, et que les escrocs avancent toujours masqués. La police s'intéresse plus à croiser des choses pour voir si oui ou non (la personne A)=(la personne B). Ce domaine est utile en politique lorsque l'on cherche à savoir, et non pas croire, ce que veut la personne. Il est très utile dans la vie sociale, puisqu'il permet de séparer les personnes qui ont de la valeur de celles qui n'en ont pas, et de choisir de vrais amis.

Le champ attentionnel : important. Les prestidigitateurs font croire à de la magie en détournant l'attention du spectateur. Les voleurs et les bandits sont rôdés à agir dans les interstices, et comme il est dit dans le karaté, l'échec se nourrit toujours d'inattention. Une mauvaise distribution du champ d'attention peut devenir folie : Cela est manifeste lorsqu'une personne parle de son porte-serviette aux autres 50 fois par jour. Dans la mesure où on ne peut pas se souvenir d'une chose si on n'y a pas fait attention, la mémoire nécessite l'attention. Puisqu'apprendre nécessite de mémoriser, l'attention de l'élève doit sans cesse être un sujet de préoccupation du professeur.

11/06/2013

Donnons-leur des surnoms !

Manu le Collabo, François aux Myrtilles (vous finirez par comprendre), Marine Carnaval (elle avance masquée) et Sarko le Suppo.

Moi je trouve ça cool.