8/01/2017

Espagne : Les gens

Qui sont les Espagnols ? Mes propos ne sont pas racistes, ils sont fâchés mais argumentés, appuyés par des faits. Quand on dit la vérité, on ne discrimine pas.

Il y aura naturellement les qualités et les défauts.

Parlons des qualités. Conviviaux, ils ne jugent pas sur les apparences. Ils se fichent que tu sois con ou moche, tout ce qu'ils veulent c'est être avec les gens. Les tapas, les sorties dans les bars... On raconte que le travail est rude, mais qu'à 17:00 tout ça c'est fini, et que les collègues se réunissent pour prendre l'apéro, jusqu'à très tard le soir. Que l'amitié n'a rien à voir avec le travail, puisque le patron à ce moment-là il est sur un pied d'égalité, et que du coup il fait partie de tes potes. Attention, cette qualité n'est pas vraie à Almería, où les groupes dépassent rarement 2 personnes...

En espagnol, Te quiero. signifie Je t'aime., mais aussi Je te veux. Les Espagnols se prennent moins la tête avec l'amour, ils se régalent les yeux en matant le corps des autres, quand une fille voit que j'ai des capotes dans ma poche, elle sourit. Jamais je n'avais vu autant de couples qu'à Almería. Les Espagnols sont des cigales, du coup ils ont des comportements attractifs propices à l'amour.

Les Espagnols sont simples. Je dirais même trop simples.

Passons maintenant aux défauts. Eux aussi sont sincères, et je n'avais pas besoin de ce prétexte pour parler de cette façon-là.

En Andalousie les gens parlent comme des porcs, c'est un patois insupportable où ils ne prononcent pas les s. Typiquement je parle au mec à la caisse avec une phrase correcte dans un espagnol correct, et il me répond bêtement "¿ He ?". Un boeuf pourrait faire ça.
Du coup les étudiants ont un complexe de supériorité, ils s'affichent fièrement avec leurs lunettes et leurs classeurs à la main. Mais le moins qu'on puisse dire c'est qu'à cause de tous les autres qui sont de gros abrutis et des fainéasses, ils ont une énorme longueur de retard par rapport aux étudiants français dans leur vie intellectuelle.

Les plus méchants sont les Anglais. Mais avec les Espagnols, je n'ai jamais vu des gens aussi cons. Ce sont des abrutis, des je-m'en-foutistes complets, ignorants, pas curieux, qui ne font attention à rien, qui n'écoutent pas, qui font toujours la gueule, qui ne font aucun effort pour se faire beaux ni pour faire plaisir aux autres, car ce sont des fainéasses à l'état pur ! Ils sont tellement nazes au niveau professionnel qu'ils trouvent toujours le moyen de se faire envahir par des marques étrangères ! Carrefour ? C'est des Français. Día ? C'est possédé par Carrefour. Les vulgaires bazars ? Tenus par des Chinois. Mini Hollywood ? C'est les USA. L'énergie solaire ? Visiblement c'est les Allemands qui tirent les ficelles.

La seule chose qu'ils savent faire, c'est la fiesta. Sauf à Almería, où c'est le règne de la convivialité zéro !

Les Français sont mauvais car ils sont emplis par la peur, mais il leur suffit de travailler contre cette peur pour que l'amour resplendisse. Alors que les Espagnols, c'est sur tous les paramètres qu'ils doivent faire des efforts !

Il y avait des coups de feu chaque semaine, les gens n'en avaient rien à foutre. Jamais je n'avais vu des je-m'en-foutistes pareils.

Aucun respect de la vie privée, les chiottes, la salle de bains, la chambre, rien ne ferme à clé... Une confiance en autrui absolument délirante, si je veux arnaquer quelqu'un, je choisis direct un Espagnol...

Et puis tous ces gros porcs qui bouffaient de la merde et gavaient leur chat jusqu'à le rendre obèse... Ces gros crétins qui prennent le soleil voire s'infligent des UV, et vas-y que la peau elle vieillit express et que ça chope un cancer...

Pendant tout mon séjour, l'Espagne n'a été qu'un vaste bêtisier. Le mec qui court devant ma voiture hors du passage piéton... Une telle connerie, là ça devient légendaire !

Les Espagnols sont tout simplement les gens les plus cons que j'aie jamais vus.

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Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.